lunedì 4 gennaio 2010

Il commento di Maram Al Masri al libro del fotografo

Devant ou face à son appareil photo, Max vous donne l’impression d’être magnifique. Ce regard pur qu’il jette à l’être qu’il photographie lui rend sa vérité.
Il te met tellement en confiance que tu oublies qu’il y a un appareil qui capture ton geste. Ceci n’est pas un livre de mode, ni un livre où on glorifie une personne. C’est un livre composé par un photographe  et un poète ; une femme ordinaire face à sa vie quotidienne, dans ses moments de joie, de lassitude, de défaite et de gloire. Ce n’est pas facile d’être photographiée dans son intimité, pourtant, je suis un poète qui expose déjà son intimité dans ses écrits… Mais je voudrais dire qu’il m’a tellement mise en confiance que cela fut facile. J’ai accepté d’être dans son objectif car j’ai perçu son art et son humanité à travers les photos qu’il a faites des enfants d’Afrique et son combat pour la justice, ainsi que son soufisme. Et il m’a dit « Oublie qu’il y a un photographe ». C’est vrai, à un moment, j’ai oublié et, à certain moment, j’étais si en confiance, qu’il m’a donné à penser que j’étais devant une femme, comme moi. »

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